Len Mao Natsu

Age: 16 Date de naissance: 10/12 ; Origine(s): gros melting-pot ; Orientation Sexuelle: sur la gauche ; Statut Civil: ICI ; Célébrité sur l'avatar: Aiji [LM.C] Je compte changer avant d'être validé définitivement + Kenji isidor (cf. Histoire) ;
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Aucun démêle avec la justice Sweetheart ? Non, je suis un gentil petit garçon! Enfin... Disons que le peu de bêtises que j'ai fait auparavant ne m'ont pas attiré d'ennuis auprès de l'autorité. S'il y a bien un truc qui te fait peur ou qui t'angoisse à mort c'est... Heu bah. La Mort? Oui. La mort. J'ai peur de mourir sans y être préparé. J'ai également peur des grandes étendues d'eau. Coté angoisses, je me sens perdu quand "il" n'est pas là... Oh, et il y a surement 'autres choses, mais ça me reviendra. Le plus mauvais souvenir de ta vie ? On m'a déshabillé pour savoir ce que j'étais. La réponse "un Monstre" ne leur avait pas suffit. Et le plus beau alors ? Je me souviens de ce jour extraordinaire, le jour où l'on m'a kidnappé en fait. Je me sentais... Heureux! Cela faisait tellement longtemps. Et il y a la période où j'ai rencontré mon copain pour la première fois. C'était génial. Un objet fétiche que tu aimerais que l'on te ramène ? Il y a beaucoup de choses auquel je tiens! Si c'est autorisé, pitié. Ramenez-moi mon pc. Pitié. Le peu de santé mentale qu'il me reste en dépend. En plus il y a les photos et l'historique de conversation de mon copain et moi dedans.
Et tant qu'à faire, ma batterie électronique aussi, thanks. ;
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« One of this shape, is not like the other... »

Everybody wants a piece of my world
Everybody wants to suck my...

My world - Mindless self Indulgence

1500 mots minimum. Sous forme de RP, de Flashbacks, de journal intime, de témoignages, éclates toi ! Raconte nous certaines étapes importantes de la vie de ton personnage, même les moins importantes en fait, tout ce qui pourrait nous donner une meilleure idée de qui il est. La majorité de ses spécificités doivent transparaître bien entendu. On doit avoir une petite idée de son caractère, de ce à quoi il ressemble, de ce qu'il aime ou ne supporte pas,... C'est un être humain à part entière, on ne se défini pas par sa simple date de naissance et par l'école dans laquelle on allait étant petit... =)

On a tendance à le croire trop gentil, ou au contraire plus fou qu'il ne l'ai vraiment. Quand il n'est pas dans une période de calme olympique, (souvent quand il manque de sommeil ou...) Natsu perd tout son sérieux, et un peu de sa timidité. Bien que ceci soit quelques chose de tout à fait normal et que l'on retrouve chez beaucoup de personne, la plupart des gens le voyant ainsi lui collent l'étiquette de "fou" à tord et à travers.
Aime/aime pas: Natsu aime l'été et la neige. Il n'aime ni avoir trop chaud ni trop froid, il aime le skate (enfin c'est ce qu'il dit...) et ses poupées, il n'aime pas qu'on lui enlève son bonnet de force, il n'aime pas manger sauf certains aliments spécifiques. Il déteste les sondages hommes/femmes, les dissociations de genres, les clichés, qu'on l'appelle Mademoiselle. Il en est devenu un brin misogyne. Il aime les piercings mais n'a pas assez d'argent pour s'en faire. Il a un smiley mais il ne sourit presque jamais et ne parle pas beaucoup.

Natsu est donc né en france, et vécu ses premières années très proche de son cousin Zero, dans la propriété des JacqueMort. et est alors à cette époque persuadé qu'il est un "vrai garçon"... C'est un peu plus tard que tout se complique, à l'école, on l'oblige à le faire jouer avec les filles, à lui faire porter le "mauvais uniforme", à le conditionner pour essayer de le remettre dans le moule... Cela marche quelques années, Natsu apprend à écrire en français en mettant bien les "e" où il faut à l'école, et en japonais avec sa mère. Un peu avant ses neuf ans, une affaire un peu compliquée avec des amis de la famille font devenir les relations parentales très restreintes, et sa mère décide de repartir au Japon, avec sa "petite fille". Aveugle envers sa souffrance, elle l'inscrira dans une première école où elle finira par se faire renvoyer à force de ne pas (plus) vouloir se plier à ce que l'on voulait faire de lui. Il prends des cours à domicile jusqu'à ses 10 ans et demi.

Durant ce temps, il gagne un peu en maturité et observe les garçon de son quartier. Il copie leur attitudes, tend à rectifier tout ce qui pourrais porter à croire qu'il est une fille. Il ne répond pas au questions sur son genre, se change dans les toilettes pour le sport, et découvre par la suite la fameuse astuce de la "boule-de-chaussette" pour donner un peu de volume à son caleçon. C'est lors des premières années de collège que les choses tendent à se compliquer. Les gens sont confus et étroits d'esprit, cela fini souvent en bagarre. Et puis la france lui manque quelques peu, et il trouve sa mère de plus en plus idiotes et insignifiante. Sur le plus grand réseau social, il va discuter avec des inconnus de sa terre natale, et découvre ce jeune homme singulier. Il fait beaucoup de vidéos, sur youtube. Des choses folles, drôles. Et aussi des choses sérieuses et touchantes. Il est ... scénariste. Et il compte de merveilleux comptes noirs. Il raconte tout ce que Natsu ressent et il s'y identifie très vite. Ce jeune homme deviens un idol. C'est le garçon qu'elle voulait être, celui qu'elle aurait dû être... Il envie sa vie, envie son physique gracieux avec son visage allongé et son torse plat. Il regarde ses films, sa série, lui envois des encouragements et le dessine, regarde ses vieilles photos... Il passe ses week-end et ses mercredi après-midi à remuer le fond d'internet pour trouver les sites et les forums qu'il a fréquenté, quels anime regardait-il il y a un, deux, trois ans. Puis ce sentiment inexpliqué prends de plus en plus de place. Une envie, une frustration. Il veux le connaître, il veux être lui, il veux sa vie...

A ses douze ans, il rends visite à son père et ne veux pas repartir. Il veux respirer le même air que "lui", même si c'est à milles lieux. Papa JacqueMort n'habite pas Paris mais c'est mieux que rien. Et il attend... Il attend de vivre. Mais seul le temps passe. Il attend d'être heureux, mais rien. Fin de cinquième. Quatrième. Il redouble. Et là, il rencontre Jink. Il se fiche bien de savoir si c'est un garçon ou une fille, mais ils se lient très vite d'amitié. Parce que Natsu trouve Jink différent. Parce que Jink trouve Natsu spécial. Et ils se livrent leurs secrets pendants des mois.
C'est d'ailleurs durant ces mois (et un peu avant) que Natsu change beaucoup. A son grand bonheur, son visage s'affine un peu... Même s'il lui reste toujours pas mal de joue, à l'époque. Et il a enfin le choix de ses vêtements. C'est ainsi que, grâce à Jink, il rencontrera son très cher R. pour la première fois. Alors qu'il était en train se se laisser troubler par le charme de son réalisateur fétiches qu'il n'avait jamais vu en vrai, il put aimer et être aimé comme il se doit par ce tout aussi charmant jeune homme. C'était quelqu'un de très gentil, et il continua de l'aimer malgré les problèmes d'identité de ce qu'il pensais être sa "copine".
En fin de troisième, Natsu dû déménager. La copine actuelle de son père ne supportait plus la campagne, alors tout le monde dû suivre. Il le vécu très mal. Il ne revu Jink qu'une fois avant son enlèvement par les Leather Face, et son copain peu plus.

Il passa des vacances absolument déprimante. Pas encore internet. Le pire est qu'il adorait la ville, et qu'elle était tout à lui, mais il ne connaissait pas les alentours, il n'avait même plus envie de s'y perdre. Les gens étaient pourtant à peu près tous sympathique, certains très gentils et intéressant, mais c'est souvent dur de se refaire une nouvelle vie.
Ne sortant que peu voir les amis qu'il finit par se faire (car même s'il n'osait pas aborder les gens, ils ont fini par venir à lui.) et ne portant pas grand intérêt à ses études car il avait été placé au hasard dans un lycée un peu "bourge" où l'on enseigne ni l'art plastique, ni le théâtre ni tout autre chose qui puisse le sortir d'ici l'espace d'un rêve. Alors de son temps libre, plutôt que de revoir ses leçon, le soir au lieu de dormir, ou en cours de math, durant les intercours, ses heures d'études imposés car il ne travaille pas assez... Il écrit. Il reprends ses histoires, ses chimères, ses rêves et ses personnages délaissés. Il reprend aussi son adoration pour ce jeune homme qui grandi sans lui, à l'autre bout de la france, et qui ne connait rien de ce qui est en train de se passer dans la tête de " l'une de ses fans"... Elle lui fait souvent des dessins, parfois même, elle viens lui adresser un bonjour polie sur sa messagerie. Il ne se doute pas...

† J O U R N A L †

C’était un sentiment indéfinissable. J’aurais aimé être un mec comme lui, ou plutôt « J’aurais aimé être un mec, comme lui. »
Je regardais ses anciennes photos, calculant quel âge avais-je à cette époque, me remémorais à quel point je devais être immature, et dans combien de temps est-ce que j’aurais une chance d’être « comme ça ».

Maintenant que je l’ai tant imaginé, maintenant qu’il vit dans mon esprit, il marche avec moi pendant ces longues minutes auxquelles je me perdais auparavant dans la désolation, nous marchons ensemble et pourtant aux yeux de tous je suis un pauvre malheureux, qui rattrape on-ne-sais quoi tête baissé, qui essais de marcher aussi vite que la personne qui n’existe pas qu’il s’est créé. Il existe en double et personne ne le sait. Pas même toi. Non. Comment pourrais-tu te douter qu’à l’autre bout du pays, il y a ce que tu pense être une admiratrICE. Oui, car personne ne sais, personne ne sais… Une personne donc, plus fou et tourmenté qu’on ne se l’imaginerais, comment s’imaginer que l’on est, ce sont les mots, l’ami imaginaire de quelqu’un. ..? N’est-ce pas un peu dérangeant? Un peu malsain?
Si, je pense bien que si. Mais… Qu’importe, je le suis. Oui. Tout ceci est malsain.
Je l’ai sequestré dans un coin de mon esprit et il n’en sors plus. Je réussi parfois un moment à l’oublier, et nous ne parlons plus. Il reste invisible, muet, , observe et attend. Puis quand je marche, quand je suis seul, au bord du vide, le poignets et les draps en sang, c’est lui qui me réchauffe, posant sa main sur mon épaule. Alors que l’anémie est proche, que la lame est collante, que je cache et étrangle un sanglot acide dans l’oreiller, c’est lui, toi, qui me prend dans tes bras. Parce que de tout mes amis imaginaire, tu es mon préféré.
Tout les jours, tu m’accompagnes, et je discute avec toi dans le creux de mon esprit où je t’ai logé. On parle du temps, des gens, de toi, de tes merveilles.
Cette soirée fut une des meilleurs que j’eu vécu depuis longtemps. Je décidai d’aller voir un film après les recommandations d’une amie. J’ai donc pris mes quelques sous, et je suis sorti. Cela n’a pas réellement étonné ma mère que je parte… seul. J’avais déjà dans l’idée de vivre quelques chose de si beau, car tu « serais là .» A l’entrée, deux petites filles me regardent étrangement, me dévisage, s’arrêtant sur ma veste, mes chaussures, et plus horrible encore, ma tête d’ahuri. J’ai levé la tête, et j’ai souri. Deux heures pendant lesquelles je t’ai ressenti à côté de moi, sur le siège de gauche, en jetant de temps à autre des sourires de chat dans l’ombre, souriant de me voir si heureux, si captivé par ce film que le « vrai toi » avait adoré quelques jours auparavant. Et je me sentais … toi. Comme transporté trois, quatre, cinq ans en arrière, voyant le monde à travers tes yeux. C’était merveilleux.
Nous sortîmes de la salle sombre, déjà à demi-vidée des gens pressés.

Dehors, il faisait froid, et le vent doux.
« - J’adore le début de l’hiver… lui adressais-je, au creux de mon esprit.
- Seulement le début?
- Ouais… Et la fin. Il fait trop froid sinon. 

Il ne répondit pas, mais s’amusa de ma réponse et de mon esprit quelque peu enfantin. Je sorti un petit appareil noir de ma poche, et fit jouer une belle musique, que seul toi, moi et ce corps-enveloppe entendaient.

-Tu sais ce qu’il manque?
- Heu… Non?
- La neige.
- Imagine-là? »

Cela me surpris tellement c’était simple. Voilà, maintenant il neigeait dans ma tête. Les flocons invisibles dansaient dans le soir, devant nos yeux, fondaient sur mes mains et les tiennes.

Everybody wants a piece of my world
Why they wanna go, I do not know

Tout le monde a de petits secrets... Je n'aime pas parler de ça... Mais je ne suis pas né garçon. Ne me regardez pas comme ça! Qu'est-ce que ça change après tout? Et il y a aussi ce que l'on pourrait appeler un "ami imaginaire". Je préfère définir ça comme une présence que je matérialise avec mon esprit, ou ne pas le définir du tout. Il est là, même s'il n'y a que moi qui le vois. C'est tout.

le questionnaire Leatherface

[

Le sang, ça va tu supportes ? Heu oui plutôt bien même. J'avoue avoir déjà regardé les litres et les litres de sang se rependant sur le goudron avec une certaine perversion. Il y avait eu un accident. Je ne pû m'empêcher de me demander s'ils étaient tous morts ou pas. Voir mon propre sang couler ne me fera pas paniquer, par contre pas possible de ne pas essayer de le goûter. J'aime bien le goût. Et j'aime bien faire semblant de péter un câble quand quelqu'un saigne. C'est souvent assez drôle. Enfin... Selon la personne. ; Quels seraient les plans de ton esprit démoniaque si tu avais a te venger de la personne que tu hais le plus au monde ? Un nom peut-être ? une petite explication, des détails, une cinquantaine de mots ; Pour sortir du manoir on te donne une épreuve finale: immoler un chien, éventrer ta grande sœur et décapiter tes parents ou alors tu te coupes une jambe. Alors ? Ready ? une petite explication, des détails, une cinquantaine de mots ; Mourir c'est déjà pas cool, mais celle que tu préfères éviter à tout prix, c'est laquelle ? Lapidation ? une petite explication, des détails, une cinquantaine de mots ; On ne t'a jamais traité de mytho ? Allez, dis nous ton plus grand mensonge. une petite explication, des détails, une cinquantaine de mots ; Et les coups de pute, c'est ton truc ? T'es vicieux ? une petite explication, des détails, une cinquantaine de mots ; On veut bien te laisser la vie, mais alors il nous faut celle de la personne que tu aimes le plus au monde... une petite explication, des détails, une cinquantaine de mots ; T'es donneur d'organes ? une petite explication, des détails, une dizaine de mots. Le petit mot de la fin: GIVING TO ME RAW! ♫

Thieffen

ton âge: 16 ; tu nous écrit d'où ?
De france ; depuis combien de temps fais-tu du rpg? ça doit bien faire un an maintenant! ; un commentaire quelconque à faire sur le forum ? génial! J'adore les contexte originaux et exclusifs comme celui-ci. ; double compte: nope!
ah! je veux qu'on m'explique ce smiley. Je suis intriguay. Oo



Tehehe~