The Fortunate
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 • Et les règles du jeu sont... qu'y'à pas de règle du jeu !

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Ezra Anderson
Ezra Anderson

• Et les règles du jeu sont... qu'y'à pas de règle du jeu ! 660994ezraadmin
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MessageSujet: • Et les règles du jeu sont... qu'y'à pas de règle du jeu !   • Et les règles du jeu sont... qu'y'à pas de règle du jeu ! Icon_minitimeMer 23 Nov - 3:55





Ezra Kaleb Abigail Anderson


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(c)Tumblr

Age: 19 ans ; Date de naissance: le 6 février 1992 ; Origine(s): Irlandais ; Orientation Sexuelle: Bisexuel ; Statut Civil: célibataire ; Célébrité sur l'avatar: Robbie Wadge ;
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Aucun démêle avec la justice Sweetheart ? Par démêlé, vous entendez quoi exactement ? Est ce que j’ai déjà participer à un procès, est ce que j’ai un casier judiciaire ? Dans les deux cas, la réponse est non, je n’ai jamais eu affaire avec la justice. ; S'il y a bien un truc qui te fait peur ou qui t'angoisse à mort c'est... une dizaine de mots ; Le plus mauvais souvenir de ta vie ? Le plus mauvais souvenir c'est sans doute le jour où ma soeur a disparu. Ou celui ou on a retrouvé le premier objet qui lui appartenait, une écharpe tâchée de sang. On l'avait bâillonne avec. ; Et le plus beau alors ? Le plus beau souvenir de ma vie... compliqué ça. Le jour où j'ai pris ma première cuite. C'était mémorable, le canap s'en souvient encore. Un objet fétiche que tu aimerais que l'on te ramène ? hm... ma peluche koala, peut-être ?... Je n’ai jamais vraiment eu d’objet fétiche pour la simple raison que j’ai la fâcheuse tendance à accorder une certaine importance à toutes les babioles qui passent à ma portée. Parce que chaque objet représente un souvenir pour moi... Mais après, si je devais choisir... J’aimerais avoir mon appareil photo, un reflex argentique Canon, Lens Ex Auto qui date de 1972 ; une série limitée qui plus est. J’y tiens vraiment beaucoup. Sinon, vous pouvez toujours me ramener ma peluche Koala ou ma peluche d’Elliot des Rebelles de la Forêt hein, je ne dirais pas non.
• • • • • • • • • • • • •


« J'ai des amis, j'ai des amours, je connais pas leurs noms, on surfe tous au gré des toiles, sûr qu'on est pris dedans, sûr qu'on est rien de rien, que du vide, que du vent, sûr qu'on est rien, rien, que des morts, que des morts vivants. »





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(c).she





je suis trop belle pour être aimable


400 mots minimum. un petit espace pour le caractère de ton personnage. On demande un truc un peu étoffé pas simplement nous dire "il est ceci, cela et ça mais en revanche il est aussi ça et ça et cela". Tente l'originalité tout en étant certain que l'ont peut cerner qui est ton personnage.

u.c

100 mots minimum.

« Now or Ever », ces trois petits mots sont tatoués verticalement sur la cheville gauche d’Ezra, derrière le pied. Il se l’ait fait pour ses dix huit ans et y tient comme à la prunelle de ses yeux car il résume à merveille sa philosophie de vie. Niveau style vestimentaire… Déjà il faut savoir qu’il ne porte que du coton, il ne supporte absolument pas de se mettre autre chose sur le dos, ça finit toujours par le démanger. Et il a horreur des chemises. Jean, tee shirt, pull ou sweat, une chaîne autour du cou qu’il ne quitte jamais et c’est tout. Il aime la simplicité, le confort, et se moque complètement de savoir ce que les gens peuvent penser de la façon dont il s’habille. De toute façon, enfermé dans un manoir, on se moque bien d’avoir la classe ou pas, hin ?








ma vie, mes amis, mes emmerdes


-Bonjour je m'appelle Ezra, j'ai 19 ans mais on m'en donne mentalement 16 de moins, je parle anglais, français et italien, je bois pas que de l'eau et je fume pas que des clopes, je suis bisexuel, j'aime le café et les sushis, je suis allergique aux poils de chats, je me nourris essentiellement de Coco Pops, j'aime Mickey, Minnie, et je sais que vous aussi, au fond, vous rêvez d'être mes ami(e)s.

Je suis né en Irlande, la terre des Emeraudes. J’ai toujours été fier de mes origines, même si j’ignore pourquoi. L’Irlande m’a toujours fasciné. Mais si j’étais fier de la terre qui m’avait vu naître, j’étais en revanche moins bavard sur tout ce qui concernait ma famille. Il faut dire que je n’ai jamais eu grand chose à dire sur eux, étant donné qu’ « eux » se résumait à ma mère et à ma petite sœur, Mika. Mika ne m’avait jamais ressemblé. Nous n’avions même pas le même père, mais laissez moi vous expliquer : Ma mère a toujours eut pour exemple de couple dans sa vie celui d'une femme soumise et d'un mari violent, son propre père battant sa femme sous ses yeux, ça ne lui a jamais donné très envie de se marier à son tour, voila pourquoi elle est toujours restée célibataire, enchainant des relations sans lendemain avec des hommes dont elle ne connaissait que le nom et avec lesquels elle faisait des enfants parfois, quand l’envie lui prenait. C’est comme ça que nous étions nés, Mika et moi. Par un simple caprice d’une femme incapable d’avoir une quelconque relation stable avec qui que ce soit. Elle ne demandait même pas à ses partenaires de prendre leurs responsabilités lorsqu’elle tombait enceinte. Elle ne leur demandait absolument rien, pas un peu d'argent, pas de visites... Elle brûlait le fil de sa vie par les deux bouts, se consumant sous des bouteilles d’alcools, des paquets de cigarettes, et parfois même de la drogue que ses rares ami(e)s lui procuraient.
La belle vie quoi. Elle bossait comme serveuse dans un bar et son petit salaire nous permettait de vivre tous les trois dans un appartement miteux dans l’avenue principale de Waterford, non loin du Canal St George. C’était bien, du moins aussi bien que pouvait l’être un rythme de vie dans un trois pièces de 31 mètres carrés.
En mentionnant Mika tout à l’heure, j’ai oublié de vous dire un détail important. A sa naissance, on aurait put croire qu’elle était une nouveau-née comme toutes les autres, avec ses jolies boucles blondes comme la paille et ses yeux de la couleur d’une feuille d’aubépine, et vous comprenez quand je dis cela à quel point nous étions différent, étant donné que moi, j’ai toujours eut les cheveux châtains et des yeux qui n’étaient pas sans rappeler la couleur d’un ciel après l’orage… Bref, tout ça pour vous dire qu’à première vue oui, elle n’avait rien d’exceptionnelle… Mais Mika était autiste, et croyez moi, ce simple adjectif, cette étiquette qu’on lui attribuait, tout ça changeait pas mal notre vie, à ma mère et moi, quoique j’étais trop petit pour me rappeler de notre façon de vivre, avant sa naissance. Nous n’avions que trois ans d’écart elle et moi, après tout. Pour vous faire un simple résumé, Mika détestait que quelqu’un d’inconnu l’approche ou lui adresse la parole, même en restant éloigné. De toute manière, quand on lui parlait, il ne fallait jamais s’attendre à avoir une quelconque réponse de sa part. Elle n’a jamais prononcé le moindre mot. Malgré cela, elle eut droit à une éducation plus ou moins normale et eut toujours d’excellents résultats. Elle était surdouée. Elle adorait dessiner, mais quand on la surprenait en train de le faire, elle se mettait à frapper dans le vide. Dès que quelque chose ne lui convenait pas, elle grimaçait. Les mimiques du visage et les gestes plus ou moins violents étaient sa seule façon de s’exprimer. Ça ne m’a jamais empêché de l’aimer. C’était ma sœur après tout. Enfin, demie-soeur, mais je ne l’ai jamais considéré comme telle. Nous vivions sous le même toit, nous avions la même mère. Nous étions frères et sœurs, et cela ne changea jamais pour moi. Même après sa disparition.
Dans l’appartement nous n’avions que 2 chambres, aussi Mika et moi dormions dans la même. Et souvent le soir, elle se réfugiait dans mon lit. Peu m’importait qu’elle soit muette, même si parfois, je me sentais blessé qu’elle ne fasse pas le moindre effort pour dire quelque chose, n’importe quoi, un mot, pour moi qui était toujours là pour elle. Au moins pour moi. Cela n’arriva jamais. Je n’ai jamais entendu sa voix… et dès fois d’ailleurs je l’imagine.
Autant dire que j’étais le seul à avoir droit à ce traitement de faveur de sa part. Le seul à avoir droit de l’approcher de la sorte, de la serrer dans mes bras, de lui lire des livres... Le seul, l’unique…

« -Je voulais qu’on discute toi et moi.
-Qu’on discute de quoi ?
-De ce que tu as perdu, tu sais... »
J’ai ouvert mes poches, j’ai regardé à l’intérieur.
Un trousseau de clé, un mouchoir usagé, des cartes de bus et un bout de papier griffonné.
J’ai toisé le professeur de haut en bas avant de lâcher froidement :
« -Je n’ai rien perdu. »


Quand j’eus treize ans, elle seulement dix, tout cela changea.
Imaginez.
Ma mère m’envoie chercher du pain à la sortie des cours, elle m’accompagne, elle garde son sac d’école. J’entre dans la boulangerie, elle m’attend sur le seuil du magazin. J’ai tourné le dos cinq minutes. Cinq minuscules minutes, cinq putain de minutes, et elle a disparu. On a retrouvé son corps mutilé dans une poubelle, découpé en morceaux, violé, deux semaines plus tard. Et aujourd’hui l’assassin court toujours, parce qu’on ne l’a jamais coffré. Tout au long de ses deux semaines d’attente on a trouvé des affaires qui lui appartenaient. Parfois un cahier, parfois un stylo. Une écharpe avec laquelle on l’a bâillonné. Avait-elle crié ? L’assassin avait-il, lui, réussi à entendre sa voix ? Cette idée m’a toujours obsédé.
Autant dire qu’il a bien réussi son coup, ce jour là.

Après ça, on a déménagé. Ma mère ne pouvait plus rester dans ce quartier, elle voulait qu'on aille vivre dans un endroit plus sur. Elle craignait pour sa propre peau, ouai. On a donc été à Dublin. Dublin, parce que ça "sonnait bien". C'était très différent de Waterford. Il faisait un peu plus froid, l'appartement était moins médiocre quoique plus petit, mais j'avais une grande chambre pour moi tout seul. De toute manière je n'avais plus personne avec qui la partager.
C'est très étrange la vie, après que quelqu'un de votre entourage se soit fait assassiner. Ça passe, dans un épais brouillard, on continue d'avancer, mais rien ne semble pareil, et il reste toujours des souvenirs ancrés aux objets, comme des spectres qu'on oublie jamais. Douleur, engourdissement... tête qui tourne, souffle court. Et puis on fête l'anniversaire morbide. 1 an après sa mort, 2 ans, 3 ans, 4, 5. Un jour on se rend compte qu'on ne se souvient même plus de la couleur de ses yeux, alors on va regarder des photos et on se dit "ah mais oui, c'est vrai, ils étaient verts, comment ai-je put oublier ?".... la vérité, c'est qu'on oublie parce qu'on en a besoin. Parce que sinon, on s'aperçoit qu'au lieu d'avancer, on recule, depuis le départ. Depuis que toute cette horreur a commencé, on a l'impression de n'avoir rien fait, d'avoir juste pensé à cette ombre qui nous poursuit, qui nous tire vers le fond.
Et tout ça s'arrête petit à petit. La douleur, on ne sait jamais quand elle disparait, mais il arrive un moment où on se rend compte qu'elle n'est plus là. Qu'on peut penser à sa petite soeur sans que cela fasse un choc dans la poitrine...

Je suis entré en école secondaire et effectivement, je n'avais plus mal. Quoique je me suis mis à boire, à picoler et à fumer, mais que voulez-vous, je suivais les traces de ma mère. La première année ça va, on reste raisonnable. La seconde on se lâche complètement et on oblige ses amis à venir ramasser notre corps ivre sur le trottoir. Ma mère ne disait rien parce qu'elle faisait pareil, alors elle aurait été mal placé de me juger et de s'indigner devant mon comportement. Un jour, j'ai même fait quelque chose d'ignoble. J'ai utilisé, devant un professeur, l'excuse de la mort de ma soeur pour justifier mes remarques acerbes et mon arrogance, mon impertinence. Je n'aurais pas dut. Parce que ce n'était pas à cause de ça que j'étais ainsi. C'était mon caractère, voila tout...
Ma vie a continué à suivre son cours normal. Qu'on avance ou qu'on recule, ça mène toujours vers la même fin.
La mienne devait se jouer entre les murs d'un manoir.







fais pas la sainte-nitouche...


Tout le monde a de petits secrets... Des secrets, évidement qu’Ezra en a, comme tout le monde. Sa sœur par exemple. Il fait croire à tous qu’il est fils unique, c’est plus simple, parce qu’il n’a pas envie qu’on se mette à lui poser des questions. Il est allergique au citron. Il déteste qu’on le réveille en toquant à la porte. Il a peur du noir. Il aime bien les fleurs. En soit, pas de très grands secrets, hin…






le questionnaire Leatherface


Ceci est un petit formulaire à remplir, en plus de ta présentation. Rien de bien méchant (quoique), rassures toi. Ce formulaire est spécialement dédié aux LeatherFace, puisqu’après tout, ils ont tout à fait le droit de savoir qu’elles sont tes limites, n’est ce pas ? Même s’ils se feront sans doute un plaisir de te les faire dépasser… Réponds aux questions en accord avec la vie, le caractère de ton personnage bien entendu. Plus on a de précision, mieux c'est.


Le sang, ça va tu supportes ? Complètement. Je ne comprends pas les réactions des gens quand ils voient du sang et qu’ils se mettent à tourner de l’œil. Enfin, ce n’est rien d’autre que du sang, on a tous la même chose dans nos veines. Dans une autre vie ouais, je crois que j’aurais put faire médecin ou chirurgien, mais dans ce cas j’aurais plutôt été du genre docteur diabolique à tenter trente six milles expériences foireuses. Heureusement qu’on ne s’amuse pas à me mettre un scalpel entre les mains donc… ; Quels seraient les plans de ton esprit démoniaque si tu avais a te venger de la personne que tu hais le plus au monde ? Un nom peut-être ? Et bien… premièrement je crois que je lui découperais les doigts des mains, après ceux des pieds, après je lui couperais les couilles, je les ferais cuire dans du vinaigre balsamique pour lui faire bouffer. Hm… Ensuite je lui couperais les oreilles, je le bâillonnerais et je le laisserais sur un bucher, emmuré dans une toute petite pièce si bien que même s’il arrive à échapper aux flammes il mourra étouffé par la fumée. Ou alors je creuserais un trou et je laisserais dépasser que sa tête et je m’en servirais de paillasson jusqu’à ce qu’il crève de faim, de soif, de fatigue, bref, une mort trop fun. Mais désolé, je n’ai aucun nom à donner donc pour mettre à exécution ce plan diabolique, il faudra repasser. ; Pour sortir du manoir on te donne une épreuve finale: immoler un chien, éventrer ta grande sœur et décapiter tes parents ou alors tu te coupes une jambe. Alors ? Ready ? Bon alors déjà, immoler un chien, je refuse. Je préfère carrément me couper une jambe, parce que la violence sur les hommes, ok, mais sur les animaux non merci, pauvre petite bête. Et puis éventrer ma grande sœur, j’ai pas de grande sœur ce qui résout le problème. Et décapiter mes parents… J’ai pas non plus envie. Non mais, me couper une jambe, check. ; Mourir c'est déjà pas cool, mais celle que tu préfères éviter à tout prix, c'est laquelle ? Lapidation ? Y’à tellement de façons de mourir aussi, quelle question ! Eventration, lapidation, défenestration, écartèlement, écrasement, étouffement, empalement… ahn. Je vais m’arrêter là, en fait c’est très simple, je n’ai juste pas envie de mourir. Mais pour répondre à la question, la mort qui me terrifie le plus… à choisir ça serait l’étouffement, une mort lente, douloureuse et angoissante. Hmmr. ; On ne t'a jamais traité de mytho ? Allez, dis nous ton plus grand mensonge. Mon plus gros mensonge. Quand j’ai fait croire aux gens que j’ai rencontrés après la disparition de ma sœur que celle-ci n’avait jamais existé, que j’étais fils unique. Un mensonge qui excusait largement l’immaturité dont j’ai toujours fait preuve. D’ainé malchanceux je devenais petit garçon gâté et choyé depuis sa naissance, ce qui n’a jamais manqué d’avantages. ; Et les coups de pute, c'est ton truc ? T'es vicieux ? L’imagination est l’apanage de la jeunesse, hin. Vous ne croyez pas si bien dire. Je suis très inventif quand il s’agit de faire des ‘coups de pute’. Car oui, j’en fais, être vicieux c’est devenu une partie de plaisir. Que voulez vous, il faut bien se défendre, de quelque manière que ce soit. Au fond je suis comme vous, je n’utilise simplement pas les mêmes armes. ; On veut bien te laisser la vie, mais alors il nous faut celle de la personne que tu aimes le plus au monde... J’ai le droit d’avoir la vie sauve contre la personne que j’aime le plus au monde ? Donc je vous donne le prénom et je suis censé culpabiliser à mort pour le reste de ma vie, c’est ça votre plan ? Alors je vais essayé d’être clair pour vos petites oreilles, allez vous faire foutre ♥, je préfère encore mourir. ; T'es donneur d'organes ? Donner des organes ne me dérange pas. Enfin, ça dépend quel organe bien sur. Je ne suis pas vraiment d’accord pour donner mon cœur. Et puis c’est vrai quoi, je suis jeune, vigoureux, encore plein d’énergie. J’ai pas envie d’échanger mes reins contre un truc tout pourri et me retrouver à 50 ans à devoir faire moi-même une demande d’organe, c’est trop con comme schéma. Mais si ça peut permettre de sauver une vie, alors pourquoi pas. Le petit mot de la fin: -ready papy ? -FUCK YEAH !







Bulletproof/Mayo


ton âge: 18 y.o ; tu nous écrit d'où ? France - reims ; depuis combien de temps fais-tu du rpg? 7 ans, omg, ça passe vite. ; un commentaire quelconque à faire sur le forum ? ♥ ; double compte: // ;



Merci mon ptit chat ! Amuses toi bien ! ☺











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